Beau comme une prison qui brûle…

 

 

  • L’ Envolée est un journal critique du système carcéral et judiciaire, et du monde qui le génère, il s’inscrit dans l’histoire de la critique sociale abordée sous l’angle du châtiment, de la discipline, de la prison.

 

  • Sans remède Journal contre l’enfermement psychiatrique.

    “Vous êtes sur terre, c’est sans remède” S. Beckett

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  • Sans papiers S’organiser contre l’expulsion – Que faire en cas ddessin251_titom_sans-papier-2’arrestation ?

 

2 réflexions sur « Beau comme une prison qui brûle… »

  1. France: Abolir la prison, ses mécanismes et ses logiques

    Source http://www.x-pressed.org/?xpd_article=france-abolir-la-prison-ses-mecanismes-et-ses-logiques&lang=fr#!prettyPhoto

    Les philosophes Michel Onfray et Tony Ferri, le député Noël Mamère, l’ancien président de l’Observatoire international des prisons Gabriel Mouesca, les avocats Lucie Davy et Yannis Lantheaume ou encore l’ancien détenu Philippe El Shennawy se prononcent pour que “soit jetée aux oubliettes de l’Histoire cette maudite habitude qui permet à l’homme d’enfermer l’homme et de le tenir emmuré”.

    “Les principes qui ont fondé la prison étaient des principes philanthropiques : le délinquant, pendant son incarcération, allait réfléchir, s’amender, se régénérer. L’histoire a eu raison de ces pénibles calembredaines. On ne peut bâtir que sur une absolue rigueur intellectuelle, or l’emprisonnement repose sur l’espoir que ça ira mieux après, c’est-à-dire sur rien d’intelligible.” Lorsque Catherine Baker écrit ces mots en mars 1984, 38 600 personnes sont détenues dans les prisons françaises. Trente ans plus tard, elles sont près de 69 000 et la durée moyenne de leur incarcération a plus que doublé (de 5,5 mois en 1984 à plus de 12 mois en 2014).

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